Loiret : Duralex lance une levée de fonds pour éviter la casse
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Plus d’un an après sa reprise par les salariés, la verrerie basée dans le Loiret n’est pas encore tirée d’affaire. L'entreprise fait appel aux Français pour lever 5 millions d’euros afin d’assurer sa survie.
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Les salariés de Duralex veulent voir le verre à moitié plein ! Ils annoncent le lancement début novembre d’une souscription auprès des Français. Objectif : lever 5 millions d’euros pour assurer la poursuite du redressement de l’entreprise.
5 millions d’euros à trouver
"Nous appellerons prochainement les Français à investir dans des parts participatives avec un rendement incitatif, pour nous permettre de trouver cinq millions d'euros", a expliqué le directeur général de Duralex, François Marciano, à l'AFP.
La marque, connue pour sa vaisselle réputée incassable avait failli disparaître en avril 2024, avant d'être reprise en coopérative par ses salariés quelques semaines plus tard.
"L'entreprise n'est pas encore sauvée et il nous faut cet argent pour augmenter nos fonds propres et développer de nouveaux modèles, acheter de nouvelles machines", a affirmé M. Marciano.
39 millions d’euros de chiffre d'affaires d’ici 2030
Duralex, dont le chiffre d'affaires devrait se monter à 33 millions d'euros cette année, doit atteindre la barre des 35 millions d'euros pour retrouver l'équilibre financier, avant d'espérer viser 39 millions d'euros en 2030.
Et si la trajectoire est pour l'heure "conforme" à celle du plan de sauvegarde validé par le tribunal de commerce, "beaucoup reste à faire".
100 euros minimum
La levée de fonds s'ouvrira sur réservation le 3 novembre, avant un lancement officiel mi-novembre, à partir de 100 euros, avec un rendement attrayant : 8% d'intérêts par an, pendant sept ans, et en partie défiscalisés. Mais il ne s'agit pas d'un placement garanti.
"Le risque de ce placement pour les particuliers est de perdre cette somme", a reconnu François Marciano, mais "il y a derrière 243 salariés qui se battent tous les jours et qui ont déjà fait leurs preuves".
(avec AFP)
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