"On vise le top 5", le Malouin Louis Burton à l’assaut de la Transat Café L’Or
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Adrien Michaud vous informe en Bretagne, chaque jour de 6h à 10h, en direct sur Alouette.
Si ce samedi 25 octobre, le départ de la Transat Café l'Or (ex-Jacques Vabre), depuis Le Havre, a été donné pour les Ocean Fifty, météo oblige, les autres bateaux prendront le départ de cette 17ème édition ce dimanche 26 octobre. Direction la Martinique et Fort-de-France pour les skippers, comme le duo malouin composé de Louis Burton et de Clément Commagnac sur Bureau Vallée 3.
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Ils partent pour 10 à 16 jours en mer. Ce dimanche 26 octobre entre 14h et 15h, les autres bateaux, à savoir les Ultim, les Imoca et les Class 40, vont quitter le port du Havre pour prendre part à la 17e édition de la Transat Café L’Or, anciennement Transat Jacques Vabre.
Direction la Martinique et Fort-de-France pour de nombreux skippers et skippeuses bretons et bretonnes, comme Louis Burton et son coéquipier Clément Commagnac sur Bureau Vallée 3. Le duo malouin, engagé en IMOCA, classe utilisée pour le Vendée Globe, part pour la première fois ensemble sur cette course au large, et ils ont de l’ambition comme le raconte à Alouette, Louis Burton.
Après votre Vendée Globe écourté à cause d’un problème majeur sur votre bateau, c'est votre première grosse course. Dans quel état d’esprit abordez-vous donc cette Transat Café L’Or ?
Louis Burton : On part dans l'idée d'être en mode sprint avec un bateau qui va être mené à 100% de son potentiel, tout le temps, puisqu'on va être en double. Après, Bureau Vallée 3 date de 2020, donc ce n’est pas un bateau de toute dernière génération, mais ça reste un voilier performant quand même. En termes de vitesse pure, on se situe à peu près à la septième ou huitième place [sur dix-huit IMOCA, NDLR]. Cependant, nous avons clairement l’envie, avec Clément, de terminer plus haut, on vise le top 5.
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D’ailleurs, la Café l’Or est une transat qui se passe à deux, comment vous avez choisi votre co-skipper, Clément Commagnac ?
Le choix du co-skipper c’est très important. Là, on sait que ça va être une course de vitesse. On a un point de passage obligatoire aux Canaries, donc les grandes options sont assez restreintes. Donc moi, j'ai choisi de partir avec un marin qui est un très bon régleur. Je connais son potentiel à ce poste. Aussi, je sais qu'on est complémentaire sur l'eau, mais aussi d'un point de vue technique. Ça concentre un peu tous les critères nécessaires pour une course comme la Café l’Or. En plus, ça fait aussi plusieurs années qu’on se connaît avec Clément et on s'entend bien humainement. C’est essentiel pour réussir à se passer le relais, non-stop, à bord pendant dix à douze jours.
À quelques heures du début de cette Transat Café l’Or, quelles sont les conditions de navigation pour le départ et les premiers jours de course ?
Ça fait quand même plusieurs jours qu'on voit que l'anticyclone des Açores est en train de se reformer et va être assez solide. Donc, toutes les petites dépressions qu'on a en ce moment et qui nous amènent la météo qu'on connaît ces derniers jours en Bretagne, avec un peu de pluie, du vent, et bien tout ça, ça devrait être chassé par l'anticyclone. Nous, en étant au Havre, on est dans la bordure de l'anticyclone. Donc, ce n’est pas impossible qu'on ait un vent de nord, nord-ouest qui sera assez établi. Ce qui pourrait nous permettre de partir quasiment sur un bord et plonger vite dans l'anticyclone. Concrètement, ça risque de faire un départ musclé, avec un vent de nord-ouest à 20 à 25 nœuds.
Ensuite, ça peut donner une course de vitesse pour se glisser le long du Portugal, toujours dans la bordure anticyclonique. Cela étant, il y a une autre dépression qui est en train de naître sous l'anticyclone, et qui peut venir le perturber. Après, si c'est le scénario anticyclonique qui reste dominant, on va avoir un départ qui sera très rapide.
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