3 questions à Benoît Poher et Florian Dubos du groupe Kyo

Rencontre avec Benoît Poher et Florian Dubos dans les studios d’Alouette.

Êtes-vous content des premiers retours sur votre nouvel album ?

On est super contents, je crois même qu'on a rarement eu ça ! Nous avons toujours ce stress, quand on sort un album, de décevoir son public. Mais les fans et les médias sont hyper contents, et les retours sont hyper positifs. Il y a beaucoup de superlatifs utilisés à l'égard de cet album, donc on est très fiers !

Votre rapport au public a-t-il évolué depuis le début de votre carrière ?

Le rapport, lui, n'a pas tellement évolué, mais c'est surtout l'âge qui change tout ! Ce qui est intéressant, c'est de voir qu'il y a les gens qui ont écouté l'album "Le Chemin" quand ils avaient entre 15 et 20 ans, et qu’ils sont toujours là aujourd’hui, qu’ils nous écoutent toujours. C'est vrai que ça, c'est une fierté, de rester pertinent dans le paysage musical français, et de voir qu'il y a des nouvelles générations qui sont intéressées par ce qu'on fait, et qui trouvent pertinent notre musique encore à l'heure actuelle.

Qu’est-ce que ça apporte de travailler avec la nouvelle génération, avec des artistes plus jeunes ?

Quand on travaille avec la nouvelle génération d'artistes, on a une expérience qui peut être intéressante pour eux, parce qu'effectivement ça fait longtemps qu'on fait ce métier, mais eux, ils ont une fraîcheur, un enthousiasme qui nous fait du bien aussi, et qui est stimulant.

Je pense que ce qui est marquant, c'est la rapidité avec laquelle ils proposent des idées, et avec laquelle ils jettent ces idées aussi, si ça ne fonctionne pas, alors que nous... on insiste un peu (rires) !

Pour en savoir plus sur l'émission spéciale avec Kyo, sur Alouette, rendez-vous ici.