"Obispo All Access" : l’application musicale de Pascal Obispo !

8 janvier 2021 à 15h09 par Julia Maz-Loumides

Ce vendredi 8 janvier 2021, Pascal Obispo lance sa propre application musicale payante : "Obispo All Access". L’artiste compte y partager ses anciens albums et de nombreux projets inédits tous les vendredis.

ALOUETTE
L'application est disponible pour 5,99 euros par mois !
Crédit : Archives

Pour 5,99 euros par mois, il vous sera possible d’utiliser la nouvelle application de Pascal Obispo. Fatigué des maisons de disques traditionnelles, le chanteur a souhaité lancer "Obispo All Access" : une plateforme permettant de regrouper toutes ses créations.

"La liberté retrouvée"

Dans une interview pour Le Parisien, Pascal Obispo a expliqué ne pas vouloir se contenter d’être l’artiste des chansons romantiques : "Si j’avais dû me lancer dans un nouvel album, je me serais restreint […] Je me suis régalé avec les maisons de disques, je ne les renie pas. Mais la musique n’est pas mon métier, c’est ma source de vie".

Grâce à cette application, l’artiste pourra voguer sur des styles différents, qui n’auraient pas forcément plu à des éditeurs. Ainsi, tous les vendredis, "Obispo All Access" dévoilera des clips ou des nouveaux titres inédits. Il sera possible d’écouter des disques comme "Electrobispo", "Obispoésie" ou encore un album de reprise de Christophe. Mais aussi des cours de guitare, de piano, des clips ou encore une émission nommée "Parlons-nous".

"Il y a 5 ans, j’ai commencé par bosser beaucoup de reprises de chansons, j’avais des lives enregistrés pas sortis pour des raisons commerciales. Quelle frustration ! […] Si demain je dis à une maison de disques « Je veux faire un album de jazz ou pour la méditation », ils vont se dire « Ça y est, il a pété un plomb »", a indiqué l’artiste au quotidien.

Une victoire personnelle pour Pascal Obispo qui souhaite se reconnecter avec son public. "C’est peut-être une folie, mais c’est une folie de plus […] La liberté retrouvée d’un artiste, c’est la plus belle des victoires", conclut-il pour BFM TV.