Octobre rose : le bien-être des femmes malades au cœur de cette entreprise vendéenne
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Tom Briot vous informe chaque jour sur alouette.fr.
En ce mois d’octobre, la France se pare de rose pour sensibiliser à la prévention et au dépistage du cancer du sein. Et aux Herbiers, en Vendée, une entreprise incarne parfaitement cet esprit, mais toute l'année !
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Face à la perte des cheveux liée aux traitements, Stéphanie Retailleau et Alice Rouet ont imaginé un concept unique : fabriquer des prothèses capillaires à partir des propres cheveux de leurs clientes.
Une idée née de son propre combat
C’est en traversant elle-même la maladie que Stéphanie Retailleau a eu cette idée.
"On a commencé à travailler sur le sujet car j'ai eu un cancer du sein en octobre 2020. Je suis coiffeuse et perruquière de métier, et j'ai tout essayé pour que les perruques me ressemblent et je n’ai rien trouvé qui correspondait à qui j'étais", confie-t-elle au micro d’Alouette.
Depuis, le concept baptisé "Les Pas d’chichi" a pris de l’ampleur. En deux ans et demi, plus de 200 femmes ont déjà pu retrouver une part d’elles-mêmes grâce à ces prothèses personnalisées.
La prévention avant tout
Mais au-delà de l’esthétique, Stéphanie Retailleau tient à rappeler l’importance du dépistage. Pour elle, Octobre Rose doit avant tout servir à sauver des vies.
"C'est très bien parce que c'est un mouvement qui est immense. Mais j'aimerais bien que ça serve aussi à tout ce qui est prévention parce que c'est bien de beau mettre sa vitrine en rose, mais en fait, il y a beaucoup de femmes qui ne se font pas dépister."
"Ce n’est pas un déguisement"
Pour beaucoup de femmes, la perte des cheveux est l’un des moments les plus difficiles du traitement. Retrouver son apparence d’avant est donc une victoire pour beaucoup.
"Au-delà de la maladie, ce qui renvoie l'image de malade, c'est d’être sans cheveux. Donc à partir du moment où tu n'as pas envie qu'on te voie malade ou même toi, tu n’as pas envie de te voir dans cet état-là, le fait de mettre ses cheveux, ça change tout", raconte Stéphanie Retailleau.
Le concept est désormais agréé par la Sécurité sociale, avec une prise en charge de 250 euros depuis novembre 2024.
L'atelier de fabrication des perruques | Alouette DR
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