5 questions à Jérôme Commandeur à l'occasion de la sortie de son nouveau film "T’as pas changé"
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Tom Briot vous informe chaque jour sur alouette.fr.
"T’as pas changé", une comédie signée Jérôme Commandeur, sort ce mercredi 5 novembre dans les salles obscures. L’acteur de 49 ans y signe sa troisième réalisation derrière la caméra.
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Entre rires et mélancolie, Jérôme Commandeur endosse le rôle de réalisateur pour la troisième fois de sa carrière, et explore l’amitié, le poids des années et les défis de la cinquantaine dans son nouveau film, "T'as pas changé".
La rédaction d'Alouette l'a rencontré.
Comment est née l'idée du scénario ?
Les deux producteurs du film, Richard Grandpierre et Dimitri Rassam, m'avaient suggéré de travailler sur l'idée de "retrouvailles". J'ai vite trouvé le titre "T'as pas changé", en clin d'œil à la chanson de Bruel ! (rires)
Et puis, en vivant banalement, comme tout le monde, en ayant des aléas dans ma vie personnelle, des projets qui capotent, des amis que la vie nous reprend, je me suis dit : plutôt que faire se retrouver des "quincas banale", pour les 30 ans du Bac, je vais donner vie à des personnages un peu guingois, un peu mal avec la vie. Et on va les faire se retrouver, et se télescoper. Et là, j'avais mon film.
Sur l’affiche du film, il est écrit "vieillir, ce n'était pas prévu". Ça résume le film ?
J'aime beaucoup cette phrase, parce qu'elle est simple, mais en même temps, c'est un peu l'histoire de la vie. Moi, quand j'avais 15 ans, mes parents, mes oncles et mes tantes me disaient "Fait gaffe, le temps passe vite", et je les regardais comme des vieux cons, des dinosaures ! Et aujourd'hui, je me retrouve moi-même à me dire "Fais gaffe, ça passe vraiment, vraiment très vite". Et bien sûr, on me regarde comme un dinosaure !
Finalement, ça ne changera pas, et c'est très bien comme ça !
50 ans, c’est un âge où l’on a plus de sagesse, plus de recul sur la vie selon vous ?
Oui, enfin… j'espère ! Histoire que ça serve quand même à quelque chose, d'avancer dans la vie ! Mais tout cela, justement, c'est l'objet du film. Je voulais que ce soit une "bascule" vers autre chose. Et cette bascule, elle est douloureuse.
Dans le film, on est quatre, Vanessa Paradis, Laurent Lafitte, François Damiens et moi-même, et on n’arrive pas à tourner la page. Et c'est à la fois bouleversant, pathétique, et j'espère, drôle.
Vous parliez des acteurs avec lesquels vous avez tourné. C’est un casting de rêve.
Oui, ils sont arrivés en même temps que le scénario prenait corps. Et j'ai écrit avec leur voix. Et après, ça a été leurs visages que je voyais : je les voyais évoluer dans une pièce, à un repas. "Alors, François, il va dire ça à Vanessa. Vanessa, elle va répondre ça à Laurent, etc…". Ils étaient à la fois disponibles et désireux de bien faire, artistiquement parlant.
Il y a la musique, aussi, qui joue un rôle important. On retombe dans les années 90. Vous vous êtes fait plaisir ?
Ah oui ! Disons que c'était compliqué de ne pas aller chercher des petites pépites au fond du bac à CD. Il y a le flashback de la soirée du 2 juillet 93, qui est la soirée du bac de cette promo du lycée Clémenceau à Reims, et c'est un fil rouge tout au long du film. Et donc, évidemment, il y a des morceaux de l'époque.
"T'as pas changé" un film de Jérôme Commandeur, au cinéma le 5 novembre.
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